50. Studio GGSV

Utilisé comme une véritable palette, Le Tabouret du peintre raconte les coulisses de l’artiste. Objet silencieux mais chargé de vie, il devient la mémoire concrète de l’atelier, un témoin de la peinture avant qu’elle ne devienne tableau. Sur sa surface, les couches se superposent.
Fragment du quotidien du peintre, condensé de temps et de matière, Le Tabouret du peintre célèbre le processus créatif dans ce qu’il a de plus sincère et de plus fragile : la trace du faire. À travers cette proposition, il s’agit aussi de rendre hommage aux fondateurs de La Source Garouste.

GGSV investissent le Mobilier National avec « Les Salons de l’imaginaire », un aménagement atypique et sur mesure du Pavillon des Gobelins, visible sur rendez-vous. Ils signent également « Camera Fantasia » à la Villa Médicis, ainsi que les aménagements de la Galerie du 19M et du Hall du Musée d’Art Moderne de Paris.

©HMiserey